Voici une sorte de béton méconnue qui est très utile!
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Destiné aux grosses oeuvres, le béton cellulaire est adapté aux techniques de construction modernes . Il est léger et possède une isolation thermique remarquable. Le béton cellulaire est idéal pour la construction d'une maison écologique.
Le béton cellulaire : un matériau sain et révolutionnaire
Également appelé thermopierre, le béton cellulaire a été découvert par un ingénieur suédois vers la fin du XIXe siècle. Il est fabriqué à partir de matières minérales comme le sable blanc pur, la chaux, le ciment et de la poudre d'aluminium. Ce matériau présente de nombreux atouts tels qu'une résistance mécanique remarquable. Elle est supérieure à 30 % et garantit solidité, stabilité et pérennité. Le béton cellulaire est également antisismique.
Le béton cellulaire : un bon isolant thermique
Ce matériau offre une grande isolation thermique sans utiliser un autre apport d'isolant. De ce fait, choisir le béton cellulaire permet de faire des économies sur sa consommation d'énergie. Il apporte un grand confort thermique en permettant de supprimer les ponts thermiques. En été comme en hiver, la température est toujours optimale. Face à la réglementation acoustique en vigueur, le béton cellulaire permet une excellente isolation phonique. Enfin, ce matériau est très écologique, car il ne contient pas de matière toxique ni d'élément radiocatif.
Le béton cellulaire : facile à utiliser
Le béton cellulaire s'adapte à toutes les constructions neuves et même à la rénovation. Il est parfait pour tous les types d'architecture. Il est idéal pour la construction de murs intérieurs et extérieurs qu'ils soient portants ou non. Le thermopierre est un matériau facile et rapide à utiliser, ainsi il participe à la diminution des coûts de construction. De plus, le béton cellulaire permet de monter le mur soi-même sans être maçon, plus besoin de brouette ou de bétonnière.
Source: http://www.materiaux-naturels.fr/actualite-ecologie/materiaux-ecologiques/198-beton-cellulaire-materiau-de-construction-100-ecologique.html
PUBLIÉ PAR PIER-LUC NAPERT
jeudi 31 mars 2011
Un jeu qui simule la construction d'un pont!
Voici un jeu qui reprend bien les principes de base pour la construction d'un pont : la forme, les matériaux utilisés et la deuxième loi de Newton. Il peut paraître très simplice après un rapide coup d'oeil, mais lorsqu'on essaye à construire notre propre pont, on voit très bien que la construction d'un pont est un art en soi.
- http://www.jeuflashgratuit.fr/jeuflash/jeux-retro/fwg-bridge.html
-Marc-Alexandre L.
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-Marc-Alexandre L.
Tester le béton
Voici une vidéo qui nous montre les trois tests à réaliser avant de couler du béton. La vidéo a été réalisée par l’université de Sherbrooke. Bon visionnement :
http://www.youtube.com/watch?v=YCc8xQVzVOY
http://www.youtube.com/watch?v=YCc8xQVzVOY
Les nids-de-poule
Voici un article paru dans le journal La Tribune. Il fait référence au nids-de-poule. Bonne lecture.
Une solution aux nids-de-poule
Archives La Tribune, Jessica Garneau La Tribune
Le ministère des Transports du Québec est catégorique et affirme que l'ajout d'amiante à l'enrobé bitumineux contribue à limiter la fissuration de la chaussée. Résultat: diminution importante de nids-de-poule et de fissures, meilleure adhérence et plus grande flexibilité.
L'expérience a été concluante dans la région de Chaudière-Appalaches autour des années 2000 et dans le Bas-Saint-Laurent tout récemment, où plusieurs tonnes d'amiante ont été épandues sur les routes. Chaque année, plus de 70 000 tonnes d'enrobé à l'amiante sont posées sur les routes du Québec et toujours selon le MTQ, « les fibres d'amiante améliorent la durée de vie des enrobés en optimisant leur résistance à la fatigue, à l'arrachement et au désenrobage».
Les fiches techniques du MTQ démontrent de plus qu'il est possible de prolonger le revêtement amianté de plus de sept ans avec un procédé qui empêcherait l'émanation de poussière grâce à l'emprisonnement parfaite de la fibre d'amiante. Lorsque l'on contrôle la poussière dans l'utilisation de l'amiante au niveau des matériaux de constrution en général et du bitume en particulier, par son encapsulation, eh bien, comme dit l'adage québécois, «on est en voiture!»
Il y a des coûts évidemment reliés, tant du côté de la fabrication et de la pose que de la réparation. Toutefois ce n'est pas plus dispendieux à la longue puisque les Villes doivent revenir chaque année réparer les mêmes nids-de-poule...
En ce qui a trait à la réparation de l'enrobé amianté, le recours à un procédé novateur de planage demeure efficace et peut permettre la réutilisation des nouveaux résidus acceptés actuellement par le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs.
Des avances dans la technologie du béton!
Voici un article sur les innovations de l'industrie du béton envers l'environnement (lemoniteur.fr):
L'industrie du béton innove
FV | 30/03/2011 | 17:42 | Innovation produits
Photo n° 1/9
©FIB
BLARD, pour sa maîtrise des impacts environnementaux par une réduction de consommation d'eau de 70 % sur cinq ans
Dès la certification QSE de son système de management, Blard a concentré ses efforts sur la protection de l'eau. Des compteurs d'eau, outils de mesure de la consommation ont été installés sur l'ensemble du site industriel. Sur les postes de production les plus gourmands, un système de refroidissement des circuits hydrauliques par ventilation a été mis en place (gain 47% hors recyclage) et des nettoyeurs haute pression mis à disposition sur tous les postes de production (gain 41%). Après l'installation d'un système de recyclage des eaux de contrôle d'étanchéité des produits, une station de traitement et de recyclage des eaux de process a été mise en route (séparation des granulats recyclés, filtration des boues compactées et séchées, traitement du Ph...). Les résultats ont permis de réaliser 70% d'économie d'eau en cinq ans, de maîtriser les impacts environnementaux liés aux hydrocarbures, M.E.S et Ph des eaux de processs rejetées dans le milieu naturel, et de supprimer tout rejet des eaux de process dans la zone Natura 2000 environnant le site.
Photo n° 1/9 - ©FIB / Groupe Moniteur
BLARD, pour sa maîtrise des impacts environnementaux par une réduction de consommation d'eau de 70 % sur cinq ans
Dès la certification QSE de son système de management, Blard a concentré ses efforts sur la protection de l'eau. Des compteurs d'eau, outils de mesure de la consommation ont été installés sur l'ensemble du site industriel. Sur les postes de production les plus gourmands, un système de refroidissement des circuits hydrauliques par ventilation a été mis en place (gain 47% hors recyclage) et des nettoyeurs haute pression mis à disposition sur tous les postes de production (gain 41%). Après l'installation d'un système de recyclage des eaux de contrôle d'étanchéité des produits, une station de traitement et de recyclage des eaux de process a été mise en route (séparation des granulats recyclés, filtration des boues compactées et séchées, traitement du Ph...). Les résultats ont permis de réaliser 70% d'économie d'eau en cinq ans, de maîtriser les impacts environnementaux liés aux hydrocarbures, M.E.S et Ph des eaux de processs rejetées dans le milieu naturel, et de supprimer tout rejet des eaux de process dans la zone Natura 2000 environnant le site.
Photos 9/9
L'industrie du béton innove
Pour la deuxième année consécutive, la Fédération de l'Industrie du Béton, à travers ses trophées témoigne de la capacité d'innovation de ses entreprises adhérentes, tant en termes de produits, que de process ou encore de démarches environnementale et sociale. Neuf dossiers ont été distingués. Présentation de ces actions innovantes.
Plancher avec des composants légers en béton destiné à la rénovation : un des dossiers parmi les 9 présélectionnés
Organisée par la Fédération de l'industrie du béton avec le soutien du Cerib, la deuxième édition des Trophées de l'industrie du béton réaffirme l'engagement de l'industrie du béton à relever tous les défis de la construction durable. Ce concours a pour vocation de mettre en lumière les produits en béton, leurs process de fabrication, leurs solutions constructives mais aussi de braquer le projecteur sur des démarches novatrices dans les domaines du social, de la formation et du progrès environnemental. Placé sous la présidence de Serge Grzybowski, président de France Green Building Council (1) et président d'ICADE, filiale de la Caisse des Dépôts et Consignations, le jury réuni le 23 mars a distingué les plus belles réussites des entreprises.
Sur les 9 dossiers présélectionnés (détails à travers le portfolio), 5 prix seront dévoilés et officiellement remis aux lauréats le 17 juin 2011 à l'International Carlton de Cannes.
Les industriels du béton seront également invités à voter sur le site dédié aux Trophées www.lestropheesfib.com pour primer une réalisation qui constituera le prix « coup de cœur » remis lors de cette cérémonie.
(1)France Green Building Council, organisation regroupant les acteurs français de la construction et de l'aménagement durable, parmi lesquels les associations Effinergie, HQE, Qualitel, Resobat (Fédération d'associations régionales et d'acteurs institutionnels en faveur de l'aménagement et du bâtiment durables), le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment), le Groupe Afnor, l'IFPEB (Institut Français pour la Performance Energétique du Bâtiment), le Plan Bâtiment du Grenelle Environnement.
Un autre accident avec une dalle de béton!
Dernièrement beaucoup d'accidents ont été liés à des dalles de bétons mal sécurisés. Voici un article provenant de ladepeche.fr qui nous donne un autre triste exemple.
Publié le 30/03/2011 15:37 - Modifié le 30/03/2011 à 15:41 | LaDepeche.fr
Clichy. Un mort dans l'effondrement d'une dalle de béton
Un 
Un ouvrier tué par la chute d'une dalle de béton à Clichy." title="Agrandir la photo" style="cursor: pointer;">Un ouvrier tué par la chute d'une dalle de béton à Clichy. © Idé.
L'homme âgé de 33 ans et ses deux collègues, de 22 et 41 ans, se trouvaient dans un immeuble d'un étage en cours de destruction quand le sol, d'une surface de 12 m², s'est effondré sous leurs pieds.
Les pompiers, arrivés sur place vers 10h30, ont pu sortir deux ouvriers des décombres "dans un état grave", selon le porte-parole de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Un substitut du procureur de la République de Nanterre et le directeur de cabinet du maire de Clichy se sont rendus sur les lieux du drame, en compagnie de deux agents de l'Inspection du travail.
"Une visite de sécurité réalisée la veille par une société de sécurité et de protection de la santé, BTP Consultant, n'avait pointé aucune anomalie", a déploré David Lucas le directeur de la société chargée des travaux.
mercredi 30 mars 2011
Un béton-ciment à la rescousse des autoroutes!
Voici un article publié cet été. Il est encore d'actualité, car il fait référence aux années à venir...
Le béton-ciment à la rescousse des autoroutes
(Québec) Le ministère des Transports remplacera l'asphalte par du béton-ciment plus durable sur les principales autoroutes de la région au cours des prochaines années.
«C'est une orientation que nous venons de prendre au ministère après plusieurs analyses. C'est plus coûteux au départ mais à long terme, le béton-ciment est plus économique dans plusieurs cas. Ce sera fait pour 50 ans», a indiqué, au Soleil, la sous-ministre adjointe aux infrastructures, Anne-Marie Leclerc.
Dans la région de Québec, Transports Québec a ciblé l'autoroute Henri-IV jusqu'à l'intersection de l'autoroute Félix-Leclerc, l'autoroute Félix-Leclerc jusqu'à Beauport et l'autoroute 20 sur la Rive-Sud pour un revêtement en béton-ciment à terme. «Ce sont les endroits où circulent le plus de camions lourds dans la région. Le choix est fait selon plusieurs critères. Les travaux pour un revêtement en béton-ciment ne seront faits que lorsqu'il faudra reconstruire la chaussée et pas seulement remplacer la couche d'usure. Ça peut prendre encore quelques années», a-t-elle précisé.
Actuellement, aucune route de la région qui relève du ministère des Transports n'est recouverte de béton-ciment. On en retrouve sur des sections de rue du réseau municipal dont le Versant-Nord dans le secteur de Sainte-Foy.
L'asphalte sera également remplacé par du béton-ciment sur l'autoroute Jean-Lesage sur toute sa longueur entre Lévis et Montréal au cours des prochaines années. «Le nombre de camions lourds a augmenté de 46 % sur cette autoroute entre 1996 et 2008. Ce sont les camions lourds qui endommagent le plus la structure de la chaussée. Avec du béton-ciment, la durée de vie de la chaussée sera plus longue et il y aura moins de frais d'entretien», a affirmé M. Leclerc.
À son avis, on ne peut comparer les anciennes routes de béton-ciment et les nouveaux procédés de fabrication de ce matériau. Considéré par le passé comme une surface glissante et moins sécuritaire que l'asphalte, le béton-ciment ne l'est plus, selon la sous-ministre. «Il y a de nouvelles façons de faire du béton-ciment pour les routes. Nous exigeons également qu'il soit bien texturé, qu'il ait la rugosité suffisante pour une bonne adhérence», a-t-elle dit.
«Quant au niveau sonore, le béton-ciment neuf demeure un peu plus bruyant qu'une nouvelle couche d'asphalte. Par contre, avec le temps, l'asphalte devient plus bruyant que le béton-ciment», a avancé la haut fonctionnaire.
Trafic lourd
Un spécialiste du béton-ciment pour les routes et professeur à l'Université de Sherbrooke, Ammar Yahia, s'est réjoui de la nouvelle orientation du ministère des Transports d'utiliser à l'avenir davantage de béton-ciment sur les autoroutes où circulent de nombreux poids lourds. «Pour le trafic lourd, il n'y a pas mieux que le béton-ciment. C'est plus rigide, plus résistant et plus durable. Sa durée de vie peut atteindre 75 ans. Au Québec, moins de 4 % des routes sont couvertes de béton-ciment alors que dans d'autres pays, cette proportion est plus élevée», a-t-il commenté.
«Le béton-ciment est plus cher au départ, mais compte tenu de sa durée de vie, de ses coûts d'entretien moins importants, c'est plus économique à long terme. Il est plus écologique parce qu'on utilise des produits recyclés comme le verre. On oublie vite que le coût de l'enrobé [asphalte] peut monter rapidement avec la hausse du prix du pétrole», a par ailleurs ajouté l'ingénieur civil.
D'abord la Rive-Sud
C'est sur la Rive-Sud qu'une première section d'autoroute sera reconstruite en béton-ciment dans la région de Québec. À compter de la fin de juin, ces travaux au coût de 11 millions $ seront entrepris sur l'autoroute Jean-Lesage entre Saint-Nicolas et Saint-Apollinaire sur une distance de 6,6 km. Le chantier sera interrompu à la fin de septembre pour rouvrir au printemps de l'an prochain. La nouvelle section d'autoroute en béton-ciment sera complétée en septembre 2011. Dans un premier temps, ce n'est que la structure de la chaussée des deux voies en direction est qui sera refaite au cours des deux prochaines années. Durant les travaux, la circulation sur les deux voies en direction est sera déviée vers les deux voies en direction ouest.
Source: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201005/18/01-4281682-le-beton-ciment-a-la-rescousse-des-autoroutes.php
PUBLIÉ PAR PIER-LUC NAPERT
mardi 29 mars 2011
Cinq façons d'utiliser le béton!
Voici un article pris de Journal Habitation :
Produits à base de béton… pas juste dans les fondations
Parmi les formes d'utilisation du béton, la construction par mise en place par relèvement (Tilt-Up) connaît une forte popularité sur les chantiers.
Le béton est utilisé essentiellement sous cinq formes, chacune ayant ses propres applications et ses propres qualités. Le première et la plus connue s'avère la réalisation de fondations pour l'érection d'un bâtiment. Voici les quatre autres, qui passent souvent inaperçues.
Béton préparé
Coulé sur place représente presque trois quarts de tout le béton. Produit dans des usines locales, il est livré dans les camions bien connus à tambour rotatif. Information : www.crmca.ca/CRMCAFr.html
Produit de béton préfabriqués
Ceux-ci sont coulés à l'usine. Ils bénéficient des stricts contrôles de qualité qui sont réalisables en usine. Une grande variété de produits sont préfabriqués, depuis les briques et pavés de béton jusqu'aux poutres de ponts, éléments structuraux et panneaux de recouvrement. Information : www.cpci.ca
Maçonnerie de béton
Il s'agit d'un autre type de produit de béton préfabriqué. Les blocs conventionnels de 8 x 8 x 16 pouces en sont l'exemple le mieux connu. Les éléments de maçonnerie peuvent être moulés selon une variété de formes ou de configurations, dans une variété de couleurs et de textures, et pour un large éventail d'applications structurales et architecturales. Information : www.ccmpa.ca
Construction par mise en place par relèvement (Tilt-Up)
C'est un des secteurs connaissant le plus grand essor en Amérique du Nord. Au moins 10 000 bâtiments faisant plus de 650 millions de pieds carrés sont construits de cette façon chaque année. La raison principale en est la rentabilité de la mise en place par relèvement, qui combine coût raisonnable, faibles besoins en entretien, durabilité, rapidité de construction et investissement minimal. Information : www.tilt-up.org
Autres variations
Certains matériaux à base de ciment ne constituent pas du béton, mais en ont plusieurs des qualités. C'est le cas, par exemple, du mortier, du coulis et du terrazzo. Des mélanges sol-ciment et autres «cousins» du béton compactés au rouleau sont utilisés pour les chaussées et les barrages. Les remblais fluides et les substrats traités au ciment appartiennent aussi à cette catégorie. Une nouvelle génération de produits de pointe intègre des fibres et des granulats spéciaux, permettant de créer des tuiles de couverture, des bardeaux, des parements à clin et des dessus de comptoir.
Pour plus d'information : www.cement.ca
(Source : Association canadienne du ciment -ACC)
Un nouveau pont entre Gatineau et Ottawa
Le nouveau pont va être commencé si MacKinnon gagne les élections le 2 mai prochain. Voici l'article de Cyberpresse.ca (http://www.cyberpresse.ca/le-droit/actualites/gatineau-outaouais/201103/28/01-4384083-mackinnon-promet-un-nouveau-pont-entre-gatineau-et-ottawa.php) :
Publié le 29 mars 2011 à 05h00 | Mis à jour à 05h00
Le candidat libéral imagine une ambitieuse célébration du 150e du Canada
MacKinnon promet un nouveau pont entre Gatineau et Ottawa
S'il obtient la confiance des électeurs le 2 mai prochain, le candidat libéral dans Gatineau, Steve MacKinnon, verra son élection comme un mandat pour s'assurer que la construction du futur pont devant relier Gatineau et Ottawa s'amorce avant 2017.
M. MacKinnon doit prendre officiellement cet engagement aujourd'hui, a appris LeDroit. Selon lui, la construction de ce pont attendu depuis plusieurs décennies est « l'enjeu local numéro un » dans sa circonscription. Il en va de la qualité de vie des citoyens du comté, dit-il.
Ce n'est pas d'un simple pont dont rêve le candidat libéral. Il voit dans ce pont un projet rassembleur pour le 150e anniversaire du Canada en 2017. « Soyons audacieux, soyons ambitieux, lance-t-il. On doit profiter des activités et des préparatifs du 150e pour faire un concours international pour le design de ce pont. Qu'on fasse appel aux plus brillants ingénieurs et architectes du monde. Qu'on se donne un pont digne d'une capitale, d'un pays membre du G-8. Ayons un rêve pour ce pont. »
Un pont à Gatineau, c'est comme une nouvelle station de métro dans la région de Montréal, ajoute le candidat. « Il en va de notre qualité de vie, de notre capacité à se développer économiquement et à grandir comme communauté. Les valeurs mobilières augmentent autour d'un pont et ce sera la même chose ici. C'est une infrastructure clé qui va en attirer d'autres. »
Aux yeux du candidat MacKinnon, le futur pont devra aussi bien répondre aux besoins des automobilistes que ceux du transport en commun, des cyclistes et du transport commercial.
Du même souffle, Steve MacKinnon accuse son adversaire bloquiste, Richard Nadeau, d'avoir été silencieux en chambre sur ce projet de pont. « Il n'en a parlé qu'une fois en chambre en cinq ans, dit-il. Ça démontre qu'il n'est pas intéressé à entamer rapidement la construction de ce pont. »
Appel à la CCN
Steve MacKinnon fait ainsi appel à la Commission de la capitale nationale (CCN) pour qu'elle accélère le pas dans le dossier et qu'elle passe au plus vite à la deuxième phase d'études dont l'annonce se fait attendre. Les bureaux environnementaux doivent aussi entamer dès cette année les études qui s'imposent. « Je comprends que c'est un long processus, mais ça prend beaucoup trop de temps, dit-il. Allons-y, accordons les contrats et passons à l'ouvrage. »
La CCN s'est donnée jusqu'en 2013 pour décider du tracé final du futur pont. M. MacKinnon affirme qu'il respectera ce choix et le processus devant mener à la décision finale, mais il précise que le corridor de l'île Kettle est selon lui le meilleur pour les gens de Gatineau. « Un pont à l'extrême Est de Gatineau qui déboucherait à l'extrême Est d'Ottawa n'améliorerait pas la qualité de vie des gens de Gatineau », ajoute-t-il.
Le candidat convient que sa position sur l'emplacement du pont est en contradiction avec celle de son collègue libéral de l'autre côté de la rivière des Outaouais, Mauril Bélanger. « Mauril a sa position, elle est bien connue, mais il faut comprendre que ce ne sont pas deux politiciens qui vont décider du tracé du pont, dit-il. Pour ma part, je m'engage à respecter le processus et la décision finale et mon collègue est ouvert à faire la même chose. »
La promesse de débuter la construction de ce pont n'apparaîtra pas dans la plateforme électorale du Parti libéral du Canada. « Mais j'en ai parlé à plusieurs reprises à Michael Ignatieff et c'est bien établi dans son esprit que je vais réclamer un pont », précise-t-il.
Outre le pont, M. MacKinnon entend aborder, au cours du prochain mois, les thèmes de la famille, des emplois dans la fonction publique et de la diversification économique de la région.
lundi 28 mars 2011
Un béton plus résistant au feu!
Un béton plus sûr en cas d'incendie
Lors d'un incendie dans un tunnel ou un bâtiment, le comportement du béton qui constitue les murs est loin d'être neutre : il dégage nombre de gaz dangereux s'il est porté à haute température. L'équipe du professeur Mayer, de l'Institut des sciences des matériaux de l'Université autrichienne de Leoben, a mis au point un nouveau béton résistant mieux à des températures élevées.
L'expérience :
Un béton normal est composé de quartz mais aussi de pierres carbonatées comme la chaux et la dolomite. Lors d'un incendie, d'une part, le quartz subit des changements dommageables, ce qui fragilise la structure ; d'autre part, la dolomite et la chaux se décomposent et perdent environ la moitié de leur masse sous forme du gaz carbonique et l'eau piégée dans le béton se dégage et réagit avec la chaux pour former de la chaux hydratée, corrosive et donc extrêmement dangereuse.
L'innovation de l'équipe du Professeur Mayer consiste à ajouter à un béton « normal » une quantité très précise d'un minéral composé d'hydrosilicate de fer et de magnésium pour accroître sa teneur en eau : plus de 200 litres d'eau dans un mètre cube .
Les résultats :
Premièrement, cette eau reste liée au béton jusqu'a une température de 700°C (contre 150°C pour un béton normal) et retarde donc significativement le moment où la chaux hydratée commence à se former.
Deuxièmement, la présence de cette eau « supplémentaire » permet de refroidir les gaz qui s'échappent lors de l'incendie, de purifier l'air et d'endiguer la propagation du feu.
Pour tester ce nouveau béton dans des conditions d'utilisations proches de la réalité, une portion de tunnel a été bâtie avec ce nouveau matériau. Résultat : soumise a une pression de 60 tonnes (équivalente a celle d'une montagne), la structure a résisté pendant trois heures a une température de 1 200°C !
Source: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/physique-1/d/un-beton-plus-sur-en-cas-dincendie_5396/
PUBLIÉ PAR PIER-LUC NAPERT
Source: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/physique-1/d/un-beton-plus-sur-en-cas-dincendie_5396/
PUBLIÉ PAR PIER-LUC NAPERT
Les superplastifiants : la magie du béton fluide
Voici une vidéo qui explique plus en détail le fonctionnement du béton fluide. Il est un complément à la vidéo publiée le 2 mars par Pier-Luc Napert. Bon visionnement :
http://www.youtube.com/watch?v=9ZxZlIjSGJQ
http://www.youtube.com/watch?v=9ZxZlIjSGJQ
Provenance du ciment
Le béton, le deuxième matériau le plus utilisé par l’homme après l’eau potable, a une production mondiale d’environ 1m2 par habitant par année. Comment est produit ce matériau? Voici une vidéo qui explique la provenance du ciment, l’un des liants les plus utilisés dans la fabrication du béton. Bon visionnement :
http://www.youtube.com/user/LafargeGroupe#p/u/7/ZN6bfYYf4R0
http://www.youtube.com/user/LafargeGroupe#p/u/7/ZN6bfYYf4R0
La durabilité et la dureté du béton ne sont plus à prouver.
La durabilité et la dureté du béton ne sont plus à prouver. Le béton a bien changé depuis la construction des grands ouvrages au Québec dans les années 70. Voici une vidéo qui nous montre à quel point le béton est rendu un matériau à la fine pointe de la technologie. De même, vous apprendrez à quel point le béton est rendu résistant et durable. : http://www.youtube.com/user/LafargeGroupe#p/u/35/F2V7_wMMOzw
Le béton, pas seulement dur, mais aussi élégant.
L’architecture telle que nous la connaissons est en plein changement. De nouveaux matériaux viennent se mêler à cette création artistique. Le béton, un matériau auparavant considéré comme lourd et sans beauté est entré dans la danse. Depuis quelques années, les chercheurs développent des bétons aux couleurs et aux finis majestueux. Voici une vidéo qui nous en apprend sur la beauté des nouveaux bétons :
http://www.youtube.com/user/LafargeGroupe#p/u/32/z_d1cV41vAg
vendredi 25 mars 2011
Le pont de Québec serait sécuritaire!
Le pont de Québec serait quant à lui en bon état selon un rapport des ingénieurs de transports Québec. Il reste cependant des études à faire sur une partie du pont où il y a trop de neige, mais ces dernières seront fait très prochainement. Le trou qu'il y a eu dans la dalle de béton il y a un mois ne ferait pas craindre pour l'état général de la dalle.
Voici deux articles parus cette semaine dans Le Soleil expliquant l'état du pont de Québec:
Le Soleil,
Le pont de Québec inspecté de plus près
Publié le 23 février 2011 à 05h00 Mis à jour le 23 février 2011 à 09h47
Le pont de Québec inspecté de plus près
Le trou qui a mis des centaines d'automobilistes en retard lundi matin reste recouvert d'une plaque d'acier. Les experts inspecteront les deux approches du pont au cours des deux prochaines semaines.
Le Soleil, Erick Labbé
Annie Morin
Le Soleil
(Québec) Le ministère des Transports du Québec (MTQ) réalisera une inspection plus poussée des approches nord et sud du pont de Québec au cours des deux prochaines semaines. S'il y a des trous dans la dalle de béton, comme celui découvert en fin de semaine, ils seront réparés dès que les conditions météorologiques seront propices.
Le directeur de Transports Québec dans Chaudière-Appalaches, Richard Charpentier, a expliqué mardi au Soleil que le trou d'un demi-mètre qui s'est creusé dans la dalle de béton de l'approche sud était «très localisé».
C'est un employé du MTQ qui l'a détecté samedi, lors de l'inspection quotidienne de la chaussée du vieux pont. Croyant d'abord avoir affaire à un vulgaire nid-de-poule, il s'est vite rendu compte que la dalle était attaquée. En grattant, les ingénieurs sont passés au travers des 30 centimètres de béton qui la composent. Les poutres en dessous étaient toutefois en bonne condition.
Accumulation d'eau
Après avoir étudié l'endroit, les experts estiment probable qu'il y a eu accumulation d'eau sous la couche d'asphalte du dessus. Quand la galette de pavage est partie, l'ampleur des dégâts a été révélée.
«Ce sont des problèmes qui ressortent à l'occasion sur ce genre de dalle-là qui est due pour être changée éventuellement», souligne M. Charpentier. Par mesure de prévention, les deux approches du pont seront inspectées minutieusement. La dalle du pont lui-même est plus récente et n'inspire donc aucune crainte aux ingénieurs.
«C'est par la suite qu'on va pouvoir déterminer s'il y a une intervention à faire à court terme.
Sinon, au printemps prochain, lorsque le beau temps sera de retour et permettra de faire des travaux de meilleure qualité, on va être en mesure de faire des réparations plus permanentes», ajoute le directeur régional.
En attendant, le trou qui a mis des centaines d'automobilistes en retard lundi matin reste recouvert d'une plaque d'acier comme on en voit fréquemment sur les chantiers de construction.
Hors des heures de pointe
Comme le coin est très passant, M. Charpentier précise que tous les travaux nécessaires seront réalisés en même temps et à l'extérieur des heures de pointe.
Environ 35 000 véhicules circulent chaque jour sur le pont de Québec. Si la structure est propriété du CN, la voie carrossable est entretenue par Transports Québec, qui inspecte la chaussée quotidiennement pour réparer les imperfections au fur et à mesure. Chaque année, une inspection visuelle plus poussée est réalisée. La dalle de béton, elle, fait l'objet d'une attention particulière tous les deux ans.
La dernière inspection remonte à 2009.
Source: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/transports/201102/22/01-4372968-le-pont-de-quebec-inspecte-de-plus-pres.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4382379_article_POS2
Voici deux articles parus cette semaine dans Le Soleil expliquant l'état du pont de Québec:
Le Soleil,
Le pont de Québec inspecté de plus près
Publié le 23 février 2011 à 05h00 Mis à jour le 23 février 2011 à 09h47
Le pont de Québec inspecté de plus près
Le trou qui a mis des centaines d'automobilistes en retard lundi matin reste recouvert d'une plaque d'acier. Les experts inspecteront les deux approches du pont au cours des deux prochaines semaines.
Le Soleil, Erick Labbé
Annie Morin
Le Soleil
(Québec) Le ministère des Transports du Québec (MTQ) réalisera une inspection plus poussée des approches nord et sud du pont de Québec au cours des deux prochaines semaines. S'il y a des trous dans la dalle de béton, comme celui découvert en fin de semaine, ils seront réparés dès que les conditions météorologiques seront propices.
Le directeur de Transports Québec dans Chaudière-Appalaches, Richard Charpentier, a expliqué mardi au Soleil que le trou d'un demi-mètre qui s'est creusé dans la dalle de béton de l'approche sud était «très localisé».
C'est un employé du MTQ qui l'a détecté samedi, lors de l'inspection quotidienne de la chaussée du vieux pont. Croyant d'abord avoir affaire à un vulgaire nid-de-poule, il s'est vite rendu compte que la dalle était attaquée. En grattant, les ingénieurs sont passés au travers des 30 centimètres de béton qui la composent. Les poutres en dessous étaient toutefois en bonne condition.
Accumulation d'eau
Après avoir étudié l'endroit, les experts estiment probable qu'il y a eu accumulation d'eau sous la couche d'asphalte du dessus. Quand la galette de pavage est partie, l'ampleur des dégâts a été révélée.
«Ce sont des problèmes qui ressortent à l'occasion sur ce genre de dalle-là qui est due pour être changée éventuellement», souligne M. Charpentier. Par mesure de prévention, les deux approches du pont seront inspectées minutieusement. La dalle du pont lui-même est plus récente et n'inspire donc aucune crainte aux ingénieurs.
«C'est par la suite qu'on va pouvoir déterminer s'il y a une intervention à faire à court terme.
Sinon, au printemps prochain, lorsque le beau temps sera de retour et permettra de faire des travaux de meilleure qualité, on va être en mesure de faire des réparations plus permanentes», ajoute le directeur régional.
En attendant, le trou qui a mis des centaines d'automobilistes en retard lundi matin reste recouvert d'une plaque d'acier comme on en voit fréquemment sur les chantiers de construction.
Hors des heures de pointe
Comme le coin est très passant, M. Charpentier précise que tous les travaux nécessaires seront réalisés en même temps et à l'extérieur des heures de pointe.
Environ 35 000 véhicules circulent chaque jour sur le pont de Québec. Si la structure est propriété du CN, la voie carrossable est entretenue par Transports Québec, qui inspecte la chaussée quotidiennement pour réparer les imperfections au fur et à mesure. Chaque année, une inspection visuelle plus poussée est réalisée. La dalle de béton, elle, fait l'objet d'une attention particulière tous les deux ans.
La dernière inspection remonte à 2009.
Source: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/transports/201102/22/01-4372968-le-pont-de-quebec-inspecte-de-plus-pres.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4382379_article_POS2
Le Soleil
L'approche sud du pont de Québec «en bon état»
Publié le 23 mars 2011 à 12h52 Mis à jour le 23 mars 2011 à 12h52
Photothèque Le Soleil, Laetitia Deconninck
Annie Morin
Le Soleil
(Québec) L'inspection de l'approche sud du pont de Québec n'a pas révélé de faiblesse dans la dalle de béton autre que le trou d'un demi-mètre découvert il y a un mois.
Une voie de circulation avait alors été condamnée pendant un peu plus d'une journée par mesure de précaution, entraînant des bouchons monstres.
Les ingénieurs de Transports Québec dans Chaudière-Appalaches ont vérifié le dessus et le dessous de la dalle et conclu qu'elle est «en bon état», mentionne Richard Charpentier, directeur régional.
L'approche nord n'a toutefois pu être inspectée tel que prévu en raison des importantes accumulations de neige à l'entrée du pont. Les ingénieurs se reprendront dès que toute cette neige sera fondue.
«Il n'y a pas de signes précurseurs à la surface qui laissent croire ou craindre que la dalle est en mauvais état», précise M. Charpentier.
Le fameux trou, qui est recouvert d'une plaque métallique comme on en voit fréquemment sur les chantiers de construction, sera quant à lui réparé dès que les conditions météorologiques seront propices à un travail durable.
Source: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/transports/201103/23/01-4382379-lapproche-sud-du-pont-de-quebec-en-bon-etat.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4372968_article_POS2
Pont Jacques-Cartier après Champlain et Mercier
En plus du pont Champlain et du pont Mercier, le Pont Jacques-Cartier doit lui aussi subir d'importantes rénnovations. Ces dernières se déroulent la nuit et elles servent à remplacer
une partie des appareils d’appui qui supportent le tablier du pont. Le pont Jacques-Cartier n'est pas en aussi mauvais état que le pont Champlain. Les experts prévoient qu'il devrait tenir encore bien des années.
Voici un article paru sur canoe.ca :
Montréal
Importants travaux sur le pont Jacques-Cartier
Agence QMI
Jean-Louis Fortin
24/03/2011 16h46
une partie des appareils d’appui qui supportent le tablier du pont. Le pont Jacques-Cartier n'est pas en aussi mauvais état que le pont Champlain. Les experts prévoient qu'il devrait tenir encore bien des années.
Voici un article paru sur canoe.ca :
Montréal
Importants travaux sur le pont Jacques-Cartier
Agence QMI
Jean-Louis Fortin
24/03/2011 16h46
Le pont Jacques-Cartier
© Agence QMI / Archives
MONTRÉAL - Pendant que toute l’attention est tournée vers le pont Champlain, d’importants travaux ont aussi lieu sur un autre lien névralgique entre Montréal et la Rive-Sud, le pont Jacques-Cartier.
Même si ces travaux sont invisibles, parce qu’ils se déroulent de nuit et sous la structure du pont, ils entraîneront tout de même sa fermeture complète pendant encore quatre nuits (voir tableau).
Le chantier permettra de remplacer une partie des appareils d’appui qui supportent le tablier du pont.
«Les appareils d’appui sont un peu comme les amortisseurs d’une voiture. Ils permettent au pont d’absorber les vibrations causées par la circulation», a indiqué Jean-Vincent Lacroix, porte- parole de la société Les ponts Jacques-Cartier et Champlain inc. (PJCCI).
L'opération nécessite l’artillerie lourde. De puissants vérins soulèvent d’une dizaine de millimètres une partie du tablier qui pèse 336 tonnes. Elle est ensuite rabaissée une fois le travail complété.
Les appareils d’appui du pont Jacques-Cartier avaient été installés au début des années 1980 et sont arrivés en fin de vie utile. Le nouveau matériel, qui sera progressivement installé jusqu'en 2020, est plus résistant et devrait être bon pour une cinquantaine d’années, a expliqué M. Lacroix.
Encore solide
Contrairement au pont Champlain, construit il y a 50 ans, le pont Jacques-Cartier est loin d’être en mauvais état, même s’il soufflera ce printemps ses 81 bougies. Son tablier a été remplacé en 2000 et 2001, sans trop affecter la circulation, et devrait tenir encore plusieurs décennies.
Une telle manœuvre a été possible parce que le pont Jacques-Cartier est constitué d’une plaque de béton posée sur une structure d’acier. Il a donc suffi de remplacer le tablier de béton pièce par pièce, comme un casse-tête.
Dans le cas de Champlain, ce sont les poutres de béton, parcourues par des tiges d’acier, qui composent le tablier du pont. Il serait donc impossible de refaire le tablier sans fermer des voies pour une durée prolongée.
«Lors de la construction du pont Champlain, c’était une technologie nouvelle. Elle a permis de sauver du poids, donc d’avoir de moins gros piliers. Mais on n’avait pas considéré la corrosion causée par le sel de voirie», a remarqué Jean-Vincent Lacroix.
Fermeture complète du pont Jacques-Cartier (1 h à 4 h du matin)
-Nuit du vendredi 25 au samedi 26 mars
-Nuit du mardi 29 au mercredi 30 mars
-Nuit du mercredi 30 au jeudi 31 mars
-Nuit du dimanche 3 au lundi 4 avril
*Ces dates pourraient changer en fonction de la météo et de l’avancement des travaux.
Travaux d'urgence sur l'un des remblais du pont de l'île d'Orléans
Voici un article paru ce matin dans Le Soleil expliquant un problème survenu sur l'un des remblais du pont de l'île d'Orléans qui devra être réparé en vitesse. Le problème de stabilisation du remblais serait dû aux forces de la nature et aux conditions climatiques.
Cyberpresse.ca
Le Soleil
Publié le 25 mars 2011 à 05h00 Mis à jour à 08h40
Travaux d'urgence près du pont de l'Île-d'Orléans
Les résidants et les visiteurs de l'Île-d'Orléans devront donc composer avec la fermeture d'une voie sur deux sur une distance d'environ 200 mètres autour du chantier.
Photothèque Le Soleil, Patrice Laroche
Annie Morin
Le Soleil
(Québec) Des travaux de stabilisation du remblai situé à la sortie sud du pont de l'Île-d'Orléans, du côté de Saint-Pierre-de-l'Île-d'Orléans, ont été entrepris d'urgence par le ministère des Transports du Québec (MTQ), jeudi.
Le sol sur lequel repose la route menant au vieux pont est grugé sur une distance d'environ 30 mètres. C'est un employé du Ministère qui l'a remarqué lors d'une patrouille de routine du réseau routier.
Les grandes marées de la fin de semaine, combinées à de bons vents, de la pluie en abondance et au processus normal de fonte des neiges, seraient à blâmer, selon Louise Villeneuve, porte-parole du MTQ pour la région de la Capitale-Nationale. Les grosses roches qui maintenaient la terre en place ont cédé sous la pression de l'eau et ont pris le chemin du fleuve Saint-Laurent.
Dès que l'affaissement a été constaté, une équipe de Transports Québec a été dépêchée sur place pour constater l'ampleur des dégâts. Des travaux d'empierrement ont été recommandés pour «redonner sa stabilité au talus existant».
L'intervention, qualifiée de prioritaire, est déjà commencée et devrait se poursuivre pendant quelques jours. Pour éviter toute récidive, des pierres seront ajoutées sur une distance de 100 mètres, en aval et en amont de la section endommagée.
Les résidants et les visiteurs de l'île devront donc composer avec la fermeture d'une voie sur deux sur une distance d'environ 200 mètres autour du chantier. La circulation se fera en alternance et sera dirigée à l'aide de signaleurs ou de feux temporaires de circulation.
Ce genre d'intervention est rare à proximité de Québec. Selon Louise Villeneuve, cela se voit davantage dans Charlevoix ou Portneuf, là où le fleuve lèche la route 138. La sécurité des usagers de la route n'est pas menacée.
Source: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/transports/201103/24/01-4382924-travaux-durgence-pres-du-pont-de-lile-dorleans.php
Cyberpresse.ca
Le Soleil
Publié le 25 mars 2011 à 05h00 Mis à jour à 08h40
Travaux d'urgence près du pont de l'Île-d'Orléans
Les résidants et les visiteurs de l'Île-d'Orléans devront donc composer avec la fermeture d'une voie sur deux sur une distance d'environ 200 mètres autour du chantier.
Photothèque Le Soleil, Patrice Laroche
Annie Morin
Le Soleil
(Québec) Des travaux de stabilisation du remblai situé à la sortie sud du pont de l'Île-d'Orléans, du côté de Saint-Pierre-de-l'Île-d'Orléans, ont été entrepris d'urgence par le ministère des Transports du Québec (MTQ), jeudi.
Le sol sur lequel repose la route menant au vieux pont est grugé sur une distance d'environ 30 mètres. C'est un employé du Ministère qui l'a remarqué lors d'une patrouille de routine du réseau routier.
Les grandes marées de la fin de semaine, combinées à de bons vents, de la pluie en abondance et au processus normal de fonte des neiges, seraient à blâmer, selon Louise Villeneuve, porte-parole du MTQ pour la région de la Capitale-Nationale. Les grosses roches qui maintenaient la terre en place ont cédé sous la pression de l'eau et ont pris le chemin du fleuve Saint-Laurent.
Dès que l'affaissement a été constaté, une équipe de Transports Québec a été dépêchée sur place pour constater l'ampleur des dégâts. Des travaux d'empierrement ont été recommandés pour «redonner sa stabilité au talus existant».
L'intervention, qualifiée de prioritaire, est déjà commencée et devrait se poursuivre pendant quelques jours. Pour éviter toute récidive, des pierres seront ajoutées sur une distance de 100 mètres, en aval et en amont de la section endommagée.
Les résidants et les visiteurs de l'île devront donc composer avec la fermeture d'une voie sur deux sur une distance d'environ 200 mètres autour du chantier. La circulation se fera en alternance et sera dirigée à l'aide de signaleurs ou de feux temporaires de circulation.
Ce genre d'intervention est rare à proximité de Québec. Selon Louise Villeneuve, cela se voit davantage dans Charlevoix ou Portneuf, là où le fleuve lèche la route 138. La sécurité des usagers de la route n'est pas menacée.
Source: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/transports/201103/24/01-4382924-travaux-durgence-pres-du-pont-de-lile-dorleans.php
jeudi 24 mars 2011
Les gagnants du concours Génie civilisé de l'université de Sherbrooke
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| (Photo: Patrick Deschamps) |
Les élèves de l'école Daniel-Johnson ont participé une fois de plus au concours Génie civilisé de l'Université de Sherbrooke, qui consiste à tester la résistance de structure en bâton de sucettes glacées (popsicle).
Les élèves de sept groupes des cinq niveaux de l'école secondaire ont participé à l'élaboration de ponts en bâton de bois, tout en respectant des normes préétablies de longueur, de hauteur, de largeur et de poids. Chaque structure a ensuite été testée, le 18 mars, pour déterminer les trois meilleures équipes qui participeront à la finale à l'Université de Sherbrooke, le 16 avril prochain.
L'évaluation de la résistance des ponts a été modifiée cette année. Contrairement aux anciens tests de résistance, les enseignants n'ajoutent pas manuellement des poids sur la structure. L'Université de Sherbrooke a accepté de prêter une machine hydraulique plus sécuritaire et plus précise à Daniel-Johnson pour la durée des épreuves. Ce dispositif déforme les ponts au lieu de les faire éclater. Cette méthode évite l'envol de bout de bois un peu partout.
Les trois équipes gagnantes doivent maintenant reconstruire leur pont pour le présenter à la finale, le 16 avril.
Source :
Publié le 21 Mars 2011
Audrey Gauthier
Source :
Publié le 21 Mars 2011
Audrey Gauthier
http://www.avenirdelest.com/Actualites/Vos-nouvelles/2011-03-21/article-2350421/Construire-un-pont/1
-Marc-Alexandre Lacasse
Quel emplacement choisir?
Encore une fois, mon article portera sur le Pont Champlain qui vit probablement ses derniers instants de vie. Mais il y a une question importante que plusieurs personnes se posent: où construire un nouveau pont? Il est clair que le pont actuel quoique dangereux devra demeurer debout et en fonction tout au long de la construction du futur pont, ce qui implique que ce dernier ne pourra être mis à la même place que l'ancien. Un groupe d'experts ont établi un tracé de ce qui pourrait être l'emplacement du prochain pont entre la Rive-Sud et Montréal. Il devrait y avoir aussi quelques modifications des routes et autoroutes aux entrées et sorties du pont.
Voici un petit vidéo, paru sur Canoe TV le 17 mars 2011, expliquant ce à quoi pourrait ressembler le futur projet:
http://fr.video.canoe.tv/video/actualites/regional/20920440001/a-quoi-pourrait-ressembler-un-nouveau-pont-champlain/834272183001/page/2
Bon visionnement!
Voici un petit vidéo, paru sur Canoe TV le 17 mars 2011, expliquant ce à quoi pourrait ressembler le futur projet:
http://fr.video.canoe.tv/video/actualites/regional/20920440001/a-quoi-pourrait-ressembler-un-nouveau-pont-champlain/834272183001/page/2
Bon visionnement!
La patience des automobilistes
Les automobilistes de la région de Montréal devront faire preuve d'une très grande patience au cours des prochains mois et des prochaines années à cause de tous les travaux qui devront se faire sur les infrastructures de la ville. Les travaux de reconctruction sur le pont Mercier reprennent et à compter de demain, des restrictions sur la circulation auront lieu.
Voici un article publié sur cyberpresse.ca :
Publié le 24 mars 2011 à 07h28 Mis à jour à 07h28
Pont Mercier: les travaux reprennent
Pont Mercier: les travaux reprennent
Photo: André Pichette, Archives La Presse
Bruno Bisson
La Presse
La reprise des travaux de reconstruction de la rampe 2 (La Prairie) du pont Mercier, prévue lundi, entraînera de nouvelles restrictions de circulation sur la Rive-Sud jusqu'à l'été.
L'installation du chantier oblige la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain (PJCC) à fermer complètement cette rampe à compter de vendredi soir, 21h, jusqu'à dimanche matin, 5h.
Pour accéder au pont à partir de La Prairie, il faudra passer par la route 207 (chemin Saint-Isidore). Pour entrer à La Prairie en provenance de Montréal, il faudra continuer jusqu'à la route 207 puis revenir sur ses pas pour prendre un chemin temporaire menant à la route 138.
À partir de dimanche, la rampe sera partiellement rouverte et une voie sera maintenue en tout temps dans chacune des directions. Les voies de circulation seront toutefois rétrécies à 3,3 m. Les travaux devraient durer trois mois.
Le pont de Québec sûr!
Bien qu'un trou d'environ 1m de diamètre se cache maintenant sous des grosses plaques d'acier sur le tablier du pont de Québec, la structure et la solidité du pont sont sûres. C'est du moins ce que révèle un rapport d'inspection datant tout juste de l'été dernier!
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Rapport d'inspection
Le pont de Québec pas menacé par la rouille
QUÉBEC - Le rapport de Roche Groupe-conseil conclut que le pont de Québec est dans une condition qui assure sa viabilité à long terme, malgré l’omniprésence de rouille.
Tel est le résultat de l’inspection exhaustive du pont de Québec effectuée au cours de l’été dernier par la firme d’ingénierie. Pendant plusieurs semaines, des inspecteurs ont passé au peigne fin chaque composante du pont.
Résultat: même si esthétiquement parlant l’ouvrage aurait besoin de plusieurs coups de pinceau, la structure demeure sûre à long terme.
Sans vouloir en dire davantage, la directrice des affaires publiques et gouvernementales du CN, Julie Senécal, répète que le pont n’est pas menacé et que si des travaux sont nécessaires pour garantir l’intégrité structurale, ils seront effectués comme par le passé.
Étant donné que le pont est une propriété privée, le CN n’est pas tenu de dévoiler publiquement les résultats du rapport. Tout ce qu’il a été possible d’apprendre, c’est que la compagnie de chemins de fer poursuit l’analyse des données recueillies par Roche afin d’établir le programme d’entretien pour les prochaines années.
«On va discuter des conclusions avec nos partenaires, en particulier, avec le ministère des Transports dont le contrat de location arrive à échéance en 2012», a poursuivi Mme Senécal.
La somme de 25 000 $ versée annuellement par le ministère des Transports du Québec n’a pas été révisée depuis 1949.
Le CN se considère comme un «usager minoritaire» puisque quatre trains de marchandises empruntent le pont chaque jour en comparaison aux huit trains de voyageurs de VIA et aux 35 000 véhicules automobiles.
«Nous sommes en communication avec le ministère des Transports, mais les discussions vont devoir s’intensifier au cours des prochains mois», a ajouté la porte-parole.
Chaque année, le CN investit en moyenne 750 000 $ pour l’entretien du pont de Québec.
«Certaines années, ça peut aller jusqu’à 1,5 million de dollars. Cette année ne fait pas exception. Notre programme d’entretien sera basé sur les recommandations du rapport.»
La dernière étude du genre remonte à 1994, soit juste avant le début des travaux de restauration qui n’ont jamais été menés à bien faute d’argent.
Source: http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2011/01/20110120-085625.html
Publié par Pier-Luc Napert
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Rapport d'inspection
Le pont de Québec pas menacé par la rouille
QUÉBEC - Le rapport de Roche Groupe-conseil conclut que le pont de Québec est dans une condition qui assure sa viabilité à long terme, malgré l’omniprésence de rouille.
Tel est le résultat de l’inspection exhaustive du pont de Québec effectuée au cours de l’été dernier par la firme d’ingénierie. Pendant plusieurs semaines, des inspecteurs ont passé au peigne fin chaque composante du pont.
Résultat: même si esthétiquement parlant l’ouvrage aurait besoin de plusieurs coups de pinceau, la structure demeure sûre à long terme.
Sans vouloir en dire davantage, la directrice des affaires publiques et gouvernementales du CN, Julie Senécal, répète que le pont n’est pas menacé et que si des travaux sont nécessaires pour garantir l’intégrité structurale, ils seront effectués comme par le passé.
Étant donné que le pont est une propriété privée, le CN n’est pas tenu de dévoiler publiquement les résultats du rapport. Tout ce qu’il a été possible d’apprendre, c’est que la compagnie de chemins de fer poursuit l’analyse des données recueillies par Roche afin d’établir le programme d’entretien pour les prochaines années.
«On va discuter des conclusions avec nos partenaires, en particulier, avec le ministère des Transports dont le contrat de location arrive à échéance en 2012», a poursuivi Mme Senécal.
La somme de 25 000 $ versée annuellement par le ministère des Transports du Québec n’a pas été révisée depuis 1949.
Le CN se considère comme un «usager minoritaire» puisque quatre trains de marchandises empruntent le pont chaque jour en comparaison aux huit trains de voyageurs de VIA et aux 35 000 véhicules automobiles.
«Nous sommes en communication avec le ministère des Transports, mais les discussions vont devoir s’intensifier au cours des prochains mois», a ajouté la porte-parole.
Chaque année, le CN investit en moyenne 750 000 $ pour l’entretien du pont de Québec.
«Certaines années, ça peut aller jusqu’à 1,5 million de dollars. Cette année ne fait pas exception. Notre programme d’entretien sera basé sur les recommandations du rapport.»
La dernière étude du genre remonte à 1994, soit juste avant le début des travaux de restauration qui n’ont jamais été menés à bien faute d’argent.
Source: http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2011/01/20110120-085625.html
Publié par Pier-Luc Napert
mercredi 23 mars 2011
Du béton ciré!
Une sorte de béton très intéressante. Voici un article de LaDepeche.fr:
Publié le 23/03/2011 10:01 | LaDepeche.fr
Béton ciré, matière tout terrain
Publié le 23/03/2011 10:01 | LaDepeche.fr
Béton ciré, matière tout terrain
Béton ciré, matière tout terrain
Le béton ciré investit nos intérieurs sur les sols, les murs et même sur les meubles. À l'origine c'est un revêtement utilisé dans les locaux commerciaux, l'industrie. Il se compose d'un mélange de cailloux, de sable, de ciment, d'eau et d'additifs. Quand ce mélange est sec, il peut être ciré, ce qui lui donne des reflets satinés, très contemporains. Utilisé dans la décoration, le béton ciré est en réalité un mortier à l'aspect béton qui présente la même composition que le béton ciré traditionnel mais avec un dosage particulier, destiné à le rendre moins épais. Ce mortier ne nécessite que 2 ou 3 millimètres d'épaisseur. Il peut donc être utilisé dans la réfection d'une pièce. Le béton offre de nombreuses possibilités grâce à ses effets de nuances, de patines et de marbrures. Ambiance loft, authentique, campagne… chaque style peut tirer partie de ce type de revêtement. L'ajout de pigments permet ainsi de le colorer pour mieux le personnaliser. Grâce à un traitement hydrofuge il peut convenir aux pièces d'eau. Enfin, sachez que le béton reste un matériau vivant au même titre que le bois.
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